Le carrosse aux armes de la Normandie s'arrêta devant l'ambassade royale.
Sans attendre l'aide de son cocher, la jeune Chambellan posa pied à terre, découvrant, admirative, les lieux.
D'un pas pressé, craignant un peu d'être en retard, elle s'approcha d'un garde, et le salua d'un signe de tête.
Bonjour. Kathryn Brehnian, chambellan de Normandie.
Je suis ici suite à la demande de la première secrétaire d'état.
Merci de prévenir … à vrai dire elle ne savait qui, et s'en sortit avec un vague … qui de droit.